Le réveil de post BREXIT pose des questions. La situation en Grande Bretagne pousse à réfléchir. En effet, des pénuries de grande envergure sur les produits de consommations et les carburants notamment sont réelles.
A qui la faute ? Les conducteurs, plus assez nombreux, et notamment venus de l’Est, repartis dans leur pays depuis l’application du Brexit. Conséquence un manque de main d’oeuvre qui dérégulent les approvisionnements.
Le gouvernement annonce l’ouverture de 80 000 titres de séjours afin d’endiguer ce phénomène.
Conclusion : minimiser la fonction de conducteur par la pratique de salaire bas et d’absence de considération n’est pas la solution.